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Une permanence pour la rénovation urbaine des Chapélies

L'inauguration de la permanence qui se tiendra tous les mercredis à la maison de quartier

L'inauguration de la permanence qui se tiendra tous les mercredis à la maison de quartier

Le quartier des Chapélies va connaître une profonde transformation dans les années à venir. Ce projet d’envergure dépasse la simple rénovation de l’habitat et s’accompagne d’une forte dimension sociale. Pour mieux faire connaître ce projet aux habitants et répondre à leurs interrogations, une permanence sera ouverte tous les mercredis, à partir du 4 février, à la maison de quartier des Chapélies, rue Dumaitre.

Rappelons que ce projet signé dans le cadre d’une convention ANRU (Agence nationale pour la rénovation urbaine) prévoit notamment la disparition de la barre de la rue André Messager, la redistribution de logements en plus petits immeubles, la création d’une place centrale, de nouveaux aménagements urbains, intégrant des normes environnementales, l’accessibilité des personnes handicapées, de nouvelles voies de circulation, de commerces, la rénovation du centre Raoul Dautry…

Ces transformations vont désenclaver le quartier. En redistribuant l’espace, le projet ANRU va créer un nouveau cadre de vie.

Sur les 178 logements qui vont être détruits, 128 seront reconstruits sur site. Les autres seront répartis en mixité sociale dans d’autres quartiers.

Cinq panneaux présentent 'histoire des Chapélies

Cinq panneaux présentent 'histoire des Chapélies

La permanence sera assurée par la chargée de mission ANRU Ville de Brive, en association avec un représentant de l’Office public de l’habitat (OPH), du PLIE (Plan local pour l’insertion et ’emploi) et des conseillers municipaux.

A noter qu’une exposition présente également au centre Raoul Dautry l’histoire du quartier des Chapélies depuis le 19e siècle. A l’époque, le quartier n’était encore que campagne: quelques fermes isolées regroupaient une trentaine d’habitants. Aujourd’hui, il s’apprête à voir démolir les immeubles construits dans les années 60 et émerger un nouvel habitat.

Marie Christine MALSOUTE

Marie Christine MALSOUTE

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