Vendredi c’est Koubi (1/3)

Crédit Photo Nathalie STERNALSKI

Premier spectacle de la compagnie Koubi à être exceptionnellement mis en accès libre aujourd’hui, la pièce Ce que le jour doit à la nuit. Avant de lancer la vidéo, pour planter le décor, voici quelques mots du chorégraphe Hervé Koubi qui nous fait ce cadeau.

crédit photo: Olivier Soulié

« Après 10 ans de questionnements et de carrière chorégraphique, je me suis enfin rendu en Algérie, mon pays d’origine. » Il y a rencontré des danseurs sans savoir précisément quoi créer ni combien de temps cela allait durer. « Sept ans et demi en fait et plusieurs de ces danseurs sont encore à mes côtés, l’un d’entre eux est même devenu mon assistant, Fayçal Hamlat. »

Les racines de cette pièce majeure dans l’œuvre du chorégraphe sont nées là-bas en 2012 et toutes celles qui ont suivi en découlent. « Elle tire son titre d’un roman de Yasmina Khadra, un immense écrivain qui est devenu par la suite un ami. Je l’ai choisi car il résonnait à ce moment-là en moi, tandis que je m’interrogeais sur mon identité entre ces deux rives de la Méditerranée qui semblent s’opposer mais qui sont de fait inextricablement liées. » C’est pour lui, « la pièce des retrouvailles, elle ne porte aucune revendication identitaire. C’est une quête d’identité ».

L’accès est à présent clos. Rendez-vous vendredi prochain pour l’acte 2.

Sur la compagnie Koubi et la mise en accès libre de la captation des pièces, vous pouvez aussi consulter notre précédent article:

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